SYSTEME CREDIT AGRICOLE

 

 

Y aurait-il un :

 

"SYSTEME CREDIT AGRICOLE" ?

 

 

Après quelques mois d'existence, notre association constate que notre cas n'est pas isolé et qu'il se rencontre assez souvent les mêmes situations aux quatres coins de la France :

- des problèmes de mises en place des crédits qui empêchent le bon déroulement économique des projets.

- des difficultés à connaitre la justification de créances "prétendues" par le Crédit Agricole ou des déclarations de créances non conforment à la procédure ou aux statuts des caisses du Crédit Agricole.

- bases juridiques souvent approximatives ou érronnées dans leurs assignations ou conclusions. -Non respect- des statuts des caisses.

- Il en est de même pour ce qui se passe au moment des ventes judiciaires, à la demande du Credit Agricole, avec intervention de leurs "entitées immobilières" : agences immobilières, ste de marchand de biens...

 

Voir un exemple dans les pages : "Procédures" et "Système"

 

Notre association remercie les personnes qui nous permettent d'INFORMER et de RASSEMBLER, car il est important de ne pas rester seul quand on est confronté à ces problèmes.

 

Les Caisses régionales du Credit Agricole n'ont pas le droit de consentir des prêts, conformement à l'Art 512-33 du code monétraire et financier.

Voir à la page "Jurisprudence" TGI de Montbrison du 09/03/2007.

 

"...le procès laissera des traces profondes."

Chambre correctionnelle du TGI de Paris, prochaine audience 30/01/2007.

Voir l'article de Boursorama du 19/09/2006 : Ici

 

 

"Deux ex-directeurs du Crédit agricole Provence-Côte d'Azur mis en examen"


 

Extrait article paru dans Le Monde le 20/04/2005 :

"...Restée jusqu'ici inconnue du grand public, l'affaire suscite depuis plusieurs semaines l'inquiétude des milieux bancaires. Jeudi 14 avril, la juge d'instruction du tribunal de Grasse (Alpes-Maritimes), Séverine Lasch, a mis en examen pour "usure" Roger Cacellé, directeur général du Crédit agricole Provence-Côte d'Azur de 1987 à 1997, et son successeur, resté en poste jusqu'en 2001, François Valéry...".

"...Mais la banque est surtout suspectée d'avoir mis en place, dans les années 1990, un logiciel, baptisé "Tarpro", permettant d'augmenter artificiellement les agios facturés à ses clients...."

"...Alex Benvenuto, chargé de la communication à la caisse régionale du Crédit agricole, réfute en bloc les soupçons pesant sur la banque. "Tout repose sur une expertise partiale et truffée d'erreurs", affirme M. Benvenuto, qui annonce que le Crédit agricole "va attaquer" Pierre-Edouard Colombani. "Il n'y a aucun système caché visant à surfacturer nos clients", ajoute M. Benvenuto. "C'est un cas classique d'instrumentalisation de la justice et des médias", conclut-il."

 

Extrait article paru dans La Croix le 20/04/2005 :

"Tous les clients de cette banque pour la période concernée (1992-1999)" sont touchés, puisque cette pratique résulte "de programmes informatiques centralisés", souligne un rapport de synthèse fait par la PJ en juillet 2004, cité par le quotidien du soir.

 

 

 

 

Une directrice du département juridique et contentieux du Crédit Agricole de Paris et d'Ile de France, nommée conseiller à la Cour de cassation en service extraordinaire.

Voir Journal Officiel : Ici

 

 

En quelques mois d'existence, des milliers de visiteurs, des dizaines de milliers de pages vues, trois quart des visiteurs qui lisent en moyenne 5 pages en 5 minutes de connexion, un nombre considérable de messages, nous renforcent dans notre démarche. Les problèmes sont bien réels !

 

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